La demande potentielle de logements à l’horizon 2030 : une estimation par la croissance attendue du nombre des ménages.
Sous les hypothèses d’une fécondité stable à 1,95 enfant par femme, d’un solde migratoire annuel de +100000 personnes, et d’une évolution tendancielle de la mortalité et des comportements de cohabitation, le nombre de ménages pourrait croître de 200 000 par an en moyenne d’ici 2050 et de 235000 par an d’ici 2030.
Outre la croissance du nombre de ménages, la demande potentielle de logements dépend de l’évolution de la proportion de logements vacants et des flux de renouvellement du parc.
Elle diffère du nombre de logements à construire car elle ne prend pas en compte les besoins liés au mal-logement ou au non-logement. Quels que soient les scénarii retenus, qui couvrent un spectre large d’hypothèses, la demande potentielle est comprise entre 300000 et 400000 logements par an en moyenne d’ici 2030.
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